Ne mangez plus rien qui vient d'Asie, leurs pratiques sont trop dangereuses pour le consommateur

Après le miel qui n'est pas du miel, le riz fabriqué qui est en réalité un espèce de plastique retravaillé, leurs poissons empoisonnés, leur bio douteux avec leur chaîne du froid qui est inexistante...Voici maintenant: Extrait d'un journal télévisé au Vietnam. On y voit une usine où l'injection de gélatine dans des Gambas y est systématique. Une manière d'augmenter artificiellement leur taille et leur poids pour manipuler les consommateurs. Selon un article du Monde, la pratique serait légale et même généralisée en Europe dans la filière de la viande. Un poulet peut contenir de 15 à 20% d'eau ajoutée. Vive le capitalisme industriel.

L'eau à la bouche

Une nouvelle réglementation européenne visant à améliorer l'information du consommateur impose de mentionner sur l'étiquette si le bacon contient plus de 5 % d'eau, alors que la pratique britannique en tolère 10 %.

  • Alerte à l'eau dans le bacon ! La météo fort humide et les inondations qu'a connues le Royaume-Uni n'y sont pour rien. C'est la faute à Bruxelles. Une nouvelle réglementation européenne visant à améliorer l'information du consommateur. Elle impose de mentionner sur l'étiquette si le bacon contient plus de 5 % d'eau, alors que la pratique britannique en tolère 10 %. Protestations immédiates de la filière - un marché de 2 milliards de livres -, expliquant que 98 % du bacon seraient concernés et devraient porter sur l'emballage la mention peu engageante : added water, eau ajoutée.
  • Mais que fait cette eau dans le bacon ? Elle fait gagner du temps et de l'argent. Selon la recette artisanale du bacon, le porc est trempé plusieurs jours dans la saumure, puis pendu, séché et fumé pendant plusieurs semaines. Le sort du bacon industriel se règle en quelques jours par injection de saumure, passage sous vide, fumage liquide, congélation et tranchage. Non seulement il reste plus d'eau et on gagne en poids mais surtout en temps de fabrication. La mesure n'est pas encore entrée en vigueur et la Provision Trade Federation (PTF), qui représente les producteurs, entend bien user de tous les recours pour y échapper.
  • L'eau ajoutée dans la viande, qui en contient naturellement de 60 à 75 %, n'est pas une nouveauté. En décembre dernier, The Guardian révélait que, pour un kilo de poulet de supermarché, le client payait 65 pence d'eau. Les blancs de poulet congelés contenaient 18 % d'added water chez Asda et Aldi et 15 % chez Iceland et Sainsbury's. L'ajout d'eau n'est pas interdit, sauf sur les produits d'importation déjà congelés mais la pratique est fréquente, notamment pour le bas de gamme.TOUS DES "SCALLOPS"
  • En 2004, une étude a montré qu'aux états-Unis 43 % du porc, 23 % des poulets et 16 % du boeuf avaient été "améliorés", avec une solution d'eau salée, à laquelle on ajoute du phosphate de sodium qui retient l'eau à la cuisson ou du lactate de potassium qui prolonge la conservation dans les rayons. Selon les industriels, ce serait la faute aux éleveurs, qui livrent des bêtes de moins en moins grasses, donnant une viande moins tendre. Il leur reviendrait de restaurer cette tendreté à coups de solutions salées et autres arômes qui garantiront au consommateur, même incapable de cuire un bifteck, un repas savoureux. En payant l'eau ajoutée au prix de la viande.
  • Les sept gaillards récemment interpellés dans la province de Guangdong (Chine du Sud) ne se souciaient guère de la qualité du gigot de leurs moutons. Seul le poids les intéressait. Ils tuaient jusqu'à 100 bêtes par jour et injectaient dans les carcasses en moyenne six litres d'eau pompée dans la mare insalubre voisine. Sur place, la police a trouvé tout le matériel d'injection, les faux certificats et 335 moutons attendant de passer par cet abattoir clandestin comme il en existe de nombreux en Chine. Ils fournissaient des restaurants jusqu'à Shanghaï. C'était le scandale alimentaire chinois du mois.
  • Et chez nous, direz-vous ? On se souvient du jambon blanc polyphosphaté et gorgé d'eau, dénoncé à la fin du siècle dernier par J.-P. Coffe. La situation s'est améliorée mais il a encore souvent la tranche bien humide dans les pochettes de supermarché. Tournons-nous plutôt au rayon des coquilles Saint-Jacques et pétoncles. Tous des "scallops", pour les Anglo-Saxons. Ils sont soumis à une pratique interdite dans l'Union européenne mais permise dans les pays dont proviennent 80 % de nos importations (Canada, Etats-Unis, Amérique du Sud, Nouvelle-Zélande) : le trempage dans une eau additionnée d'un rétenteur où la noix de saint-jacques, telle une éponge, peut absorber 20 à 30 % d'eau, vendue au prix du coquillage. Une seule solution pour y échapper, acheter des saint-jacques entières et les faire préparer par le poissonnier devant vous. Il n'est pas interdit de boire de l'eau en les mangeant.

Source: http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2014/03/14/l-eau-a-la-bouche_4382474_4497186.html#ov1GbPxMw93i4X0b.99


Ne mangez plus ce qui provient d'Asie, leurs pratiques tant qu'elles ne sont pas dévoilées sont dangereuses pour le consommateur. Et comme j'aime le répéter: préparez vous-même vos plats si vous mangez de la viande ou du poisson, le label AB est à privilégier: Le label AB certifie que les produits ne contiennent pas d’OGM, Organismes Génétiquement Modifiés. Ce label garanti aux consommateurs 95% d’ingrédients naturels d’origine agricole et dans le respect des cycles biologiques.

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